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Abordant plusieurs sujets et concernant plusieurs publics, nos ateliers de sensibilisation à la prévention routière s’organisent toute l’année, sur demande.

Notre but est, encore une fois, de sensibiliser tout un chacun, ainsi que les tiers impliqués dans d’éventuels accidents, sur la sécurité routière pour réduire le nombre et la gravité des accidents de la circulation, quels que soient les modes de déplacement.

Les informations saisies sont destinées à l’Association Ivoire Prévention Routière. Elles permettront à vous tenir informé(e) des actualités de l’association, et de faire appel à votre générosité.

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Pour toute demande, adressez-nous un courrier à : Association Ivoire Prévention Routière.

LE SAVIEZ-VOUS?

Les périodes des fêtes sont des moments de célébration, d’amusement et de réunions festives, avec hélas aussi de nombreux accidents mortels. L’augmentation de la consommation d’alcool, combinée à la densité du trafic et à la distraction sur les routes, entraîne souvent une hausse du nombre des blessés et des morts.

Si ces questions requièrent des mesures concertées de la part des gouvernements, des réglementations et une application efficace, il y a des choses que vous pouvez faire pour rester en sécurité pendant la période des fêtes.

  • Toujours porter la ceinture de sécurité
  • Limiter la consommation d’alcool si vous deviez conduire
  • Port du casque obligatoire
  • Surveiller votre vitesse
  • Éviter les distractions
  • Soyez un défenseur et un ambassadeur de la sécurité routière

Chacun de nous a un rôle à jouer pour militer pour la sécurité routière et prendre des mesures pour éviter les millions de décès qui auraient pu être évités, pas seulement pendant la période des fêtes, mais chaque jour de chaque année. L’AIPR, pour répondre à cet défit doit véhiculer chaque jours auprès de la population ses valeurs associatives afin de sauver des vies.

L’Association Ivoire Prévention Routière, ce sont des actions communes pour soutenir les victimes des accidents et sauver des vies sur les routes.

AIPR-SÉCURITÉ ROUTIÈRE SAUVONS DES VIES


Des défis à relever de toute urgence pour soutenir les victimes des accidents de la route et réduire le taux de mortalité routière.

Parmi les solutions à mettre en œuvre, il y a non seulement la nécessité de renforcer les services de santé accueillant les blessés, mais aussi l’adhésion à la Charte africaine de la sécurité routière et aux Conventions de base des Nations Unies en matière de sécurité routière ou encore la nécessité de renforcer les campagnes de sensibilisations à l’égard du public.

Outre la tragédie humaine, les accidents de la route entraînent les pays dans un cercle vicieux de pauvreté. Selon la Banque mondiale, le coût des accidents de la route représente 7,8% du PIB annuel en Côte d’Ivoire. 

Pour l’Association Ivoire Prévention Routière, soutenir les victimes des accidents de la route c’est les aider à se reconstruire et à surmonter les conséquences traumatiques de ces événements.

Des victimes qui n’ont aucune proposition d’indemnisation de nombreux préjudices tels que les besoins en assistance humaine, les pertes professionnelles, les préjudices liés aux loisirs et à la vie sexuelle. L’handicape des suites des drames routiers.

Il est important pour les victimes de la route de comprendre les différentes étapes de soutien de l’AIPR :

  • Procès-verbal des services de secours
  • Obtention du certificat médical de prise en charge hospitalière
  • Copies originales des ordonnances médicales de l’établissement d’accueil
  • Prise en charge des frais des médicaments.
  • Evaluation des préjudices indemnisables.
  • Accompagnement AIPR post-hospitalier.

SECURITE ROUTIERE SAUVONS DES VIES

PROMOUVOIR LA SECURITE ROUTIERE ET DEFENDRE LES VICTIMES D’ACCIDENTS DE LA ROUTE

INITIATIVES DE SENSIBILISATION AIPR-ASSOCIATION IVOIRE PREVENTION ROUTIERE

ÉVALUATION DE LA SITUATION

Dans le domaine de la sensibilisation, les organisations non gouvernementales mènent des activités diverses, des plus générales à celles destinées à faire pression pour que la législation soit modifiée sur un point précis. Beaucoup de ces activités, dont certaines sont décrites ci-après, peuvent être réalisées même avec peu de ressources. Leur mise en œuvre est présentée étape par étape, même s’il n’est pas toujours nécessaire de suivre strictement cet ordre. Par exemple, une organisation non gouvernementale peut choisir un porte-parole plus tôt que ce qui est proposé ici. Les listes de contrôle ont été établies en fonction des étapes. À chaque étape, les organisations non gouvernementales doivent s’efforcer de renforcer leurs capacités en matière de sécurité routière, de soutien aux victimes des accidents de la route et, pour ce faire, s’informer auprès de leurs partenaires.

FAIRE LE BILAN DE LA SITUATION EN MATIERE DE SECURITE ROUTIERE DANS LE PAYS

Afin de planifier leurs interventions de manière stratégique, les organisations non gouvernementales devraient obtenir de la part des personnes responsables de la sécurité routière dans leur pays ou leur communauté un bilan de la situation. Elles devraient aussi entamer un dialogue avec les responsables gouvernementaux et les personnes qui interviennent en première ligne (policiers, personnel paramédical intervenant dans les ambulances et personnel hospitalier). Les experts de la sécurité routière appartenant aux pouvoirs publics et au monde universitaire peuvent partager leurs connaissances sur la nature du problème et les réponses apportées. En complément de ces discussions, les organisations non gouvernementales devraient examiner soigneusement le contenu du Rapport de situation sur la sécurité routière dans le monde et du Rapport mondial sur la prévention des traumatismes dus aux accidents de la circulation.

  • RECENSER LES MECANISMES POLITIQUES SUSCEPTIBLES D’INFLUER SUR LA CREATION OU LA MODIFICATION DE LOIS

L’action de sensibilisation menée par les organisations non gouvernementales vise souvent à promouvoir la création ou la modification de lois nationales en matière de sécurité routière. Les politiques et les lois ne sont pas mises au point et appliquées de la même façon dans tous les pays. Il est donc essentiel de comprendre le fonctionnement interne du système législatif 12 avant d’entamer une action de sensibilisation visant à créer ou à modifier des lois. À cet égard, les organisations non gouvernementales doivent prendre l’avis d’experts, y compris du législateur. Si elles souhaitent qu’une loi soit instaurée, les organisations non gouvernementales chercheront, par exemple, un législateur qui accepte de mettre l’accent sur les questions de sécurité routière en général et appuyer certaines modifications de la loi en particulier

  • CONSTITUER UN MATERIEL D’APPUI POUR L’ACTION DE SENSIBILISATION

Le grand public et les décideurs ne sont pas toujours bien informés en matière de sécurité routière. Ils peuvent ne pas avoir conscience de l’ampleur du problème, notamment quant aux conséquences dramatiques à long terme, ou ne pas appréhender pleinement le potentiel des mesures d’intervention. Si les organisations non gouvernementales ne sont pas toujours les mieux placées pour produire de nouvelles données ou mener des études scientifiques, elles peuvent contribuer à une prise de conscience en élaborant et en diffusant des documents ou autres matériels faisant le point des éléments essentiels existants, ainsi que des documents décrivant les conséquences des accidents de la circulation sur les familles, les communautés et la société au sens large.

  • MISE SUR PIED DE MANIFESTATIONS

Les organisations non gouvernementales ont clairement les capacités requises pour planifier et accueillir dans leur pays et leurs communautés des manifestations conçues pour sensibiliser. De telles manifestations contribuent à une prise de conscience générale du besoin de sécurité routière et du prix que paient les victimes et leurs proches du fait de l’absence de sécurité. Elles ont le pouvoir de susciter l’intérêt des médias et peuvent donc être mises à profit pour relayer des messages plus spécifiques, comme l’appel à un changement de législation.

• des séances d’information destinées aux décideurs, aux représentants des médias et autres ;

• l’inauguration de mémoriaux en souvenir de victimes et en gage d’estime pour les survivants, tels qu’espaces commémoratifs dans les villes et sites Web à vocation mémorielle ;

• des cérémonies en honneur des victimes et des survivants, marquées par une minute de silence et des veillées aux chandelles ;

• des ateliers publics et autres manifestations à vocation éducative ;

• des actions dans les écoles, par exemple sous la forme d’assemblées de jeunes ;

• des manifestations de rue, des fêtes, des marches ou autres ;

• des concerts de bienfaisance ou des manifestations sportives ;

• des concours de photographie, de peinture, d’écriture ou autres.

  • TRAVAILLER EN PARTENARIAT

Un intervenant peut rarement, à lui seul, obtenir un changement, donc il est généralement utile de s’associer à des partenaires de plusieurs secteurs de la société ayant des préoccupations communes mais qui apportent différents types de connaissances et de compétences Au départ, l’organisation non gouvernementale aurait intérêt à recenser les groupes concernés par la sécurité routière et à déterminer quels sont les partenaires les mieux à même de soutenir ses efforts. Ces partenaires peuvent appartenir au gouvernement local ou national, au monde universitaire, aux médias, au secteur privé ou à d’autres secteurs de la société et soutenir l’organisation non gouvernementale de plusieurs façons.

L’AIPR AGIT POUR SOUTENIR ET SAUVER DES VIES

L’Association Ivoire Prévention Routière agit pour apporter son soutien aux victimes des accidents de la route les plus vulnérables ne bénéficiant pas des moyens préhospitalier et post-hospitalier suite aux accidents routiers, mais aussi contribuer à la sensibilisation des populations par des actions participatives de prise de consciences des risques de l’alcoolémie, les stupéfiants, la vitesse et la fatigue au volant en Côte d’Ivoire.

En Côte d’Ivoire, selon les chiffres officiels, le nombre de morts sur les routes est estimé à 1 200 par an, le nombre de blessés à plus de 21 000.

Pour la seule ville d’Abidjan, le tableau de bord du Bureau statistique DGPN a dénombré sur les 6 premiers mois de l’année 2022, 17150 accidents de la circulation, dont 8777 blessés et 237 tués.

Ce bilan doit nous inciter à la prudence la plus absolue au volant et nous conduit à rappeler quelques conseils :

Début août 2022, un décret a été pris pour fixer une nouvelle réglementation, modifiant le décret du 3 novembre 2016, portant réglementation de l’usage des voies routières ouvertes à la circulation publique : Décret N°2022-631 du 3 août 2022

Selon les données du ministère des transports, 92% des accidents sont dus aux facteurs humains.

Nos actions concrètes de sensibilisation participative peuvent influer à faire prendre conscience des risques routiers et de l’incivisme sur les routes. L’incivisme est l’un phénomène de la responsabilité des facteurs humains qui tuent et brises des familles.

Les accidents de la circulation n’est pas une fatalité. S’engager, s’unir pour soutenir ces victimes et sauver des vies sur les routes peut contribuer à réduire le taux de mortalité.

                                                                                                                                                           

         Le Président Fondateur : TIEMOKO Dehi Nestor

2023, L’ANNEE DE LA JEUNESSE ET LA PRÉVENTION ROUTIÈRE INNOVANTE

L’année 2023, année de la Jeunesse, marquant du coup sa ferme volonté du Gouvernement Ivoirien de mettre en œuvre plusieurs mécanismes d’encadrement, de formation et de soutiens multiformes afin de promouvoir de manière significative l’épanouissement et l’employabilité des jeunes.

L’AIPR- L’Association Ivoire Prévention Routière souhaite apporter son soutien à cette volonté auprès de la jeunesse par la sensibilisation à la Prévention Routière et le soutien aux victimes des accidents de la route.

« Les accidents de la circulation tuent 1,2 millions de personnes chaque année et en blessent des millions d’autres, en particulier dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Chaque jour, ce sont un peu plus de 1000 jeunes de moins de 25 ans qui sont tués de par le monde dans des accidents de la circulation. Au niveau mondial, les traumatismes dus aux accidents de la circulation sont la première cause de décès parmi les 15–19 ans, et la deuxième dans les classes d’âge 10–14 ans et 20–24 ans. La plupart des jeunes tués dans des accidents de la route sont des usagers vulnérables (piétons, cyclistes, motocyclistes et passagers des transports en commun), et ceux des régions Afrique et Méditerranée orientale sont les plus exposés ».

Faire de la sécurité une valeur fondamentale

L’évolution constante des transports dans le monde nous confronte à de multiples défis : émissions de gaz à effet de serre et changement climatique, pollution de l’air, dépendance à l’égard des énergies fossiles, épidémie de maladies chroniques et risques de tués et de blessés sur les routes. L’évolution rapide des technologies, l’augmentation de la densité et de la croissance démographiques dans les zones urbaines parallèlement à l’émergence et à la présence croissante de la micro-mobilité et à l’utilisation de services de mobilité sont autant de facteurs qui expliquent les défis auxquels nous sommes confrontés.

Mais si les systèmes de mobilité reposent véritablement sur la sécurité, ils auront un impact bénéfique global sur notre santé et notre environnement, sur la réduction du bilan social et économique des victimes d’accidents de la circulation et sur le rôle des femmes dans nos systèmes de mobilité et de transport. En plaçant la sécurité au cœur de nos mesures relatives à la sécurité routière, la mobilité sans risque deviendra automatiquement un droit de l’homme. Cela fera progresser le programme mondial et donnera une nouvelle dynamique pour renforcer l’engagement des gouvernements, des entreprises et des organisations internationales à appliquer des mesures susceptibles de réduire considérablement le nombre de victimes de la route.

C’est maintenant qu’il nous faut agir : le nombre intolérable de tués et de blessés sur les routes et le début de la prochaine Décennie d’action pour la sécurité routière impulsent le nouvel élan nécessaire à la communauté mondiale de la sécurité routière pour agir différemment.

Interventions après un accident

Dans les soins aux victimes d’accidents de la route et dans les gestes de survie, le facteur temps est primordial : chaque minute peut faire la différence entre la vie et la mort. C’est la raison pour laquelle des soins appropriés, intégrés et coordonnés doivent être dispensés le plus rapidement possible à la suite d’un accident.

Il est important de promouvoir la formation des premiers intervenants de la communauté pour accéder beaucoup plus rapidement à de simples interventions susceptibles de sauver des vies, en particulier dans des zones où les services de soins pré hospitaliers sont limités et/ou les temps d’intervention sont longs.

Pour encourager ces premiers intervenants à porter secours, les pays doivent leur assurer une protection juridique

La réadaptation est une composante importante des interventions et des soins faisant suite à un accident dans la mesure où ces services peuvent réduire considérablement le risque d’un handicap à vie pour les victimes d’accidents de la route.

Motivation du projet associatif de l’AIPR

Des systèmes de soutien global aux victimes et à leur famille doivent être mis en place également. Les gouvernements doivent élaborer des dispositifs pour mener une recherche multidisciplinaire sur les accidents et assurer la justice. Un soutien financier et social doit aussi être apporté, au besoin, aux victimes et à leur famille, pour leur éviter de sombrer dans la pauvreté en raison des coûts importants induits parfois par un traitement prolongé et des soins de réadaptation ou par la perte d’un soutien de famille.

Faciliter l’envie d’agir des jeunes pour la prévention routière par des actions de sensibilisation participatives de prises de conscience.

Prix Concours Bus d’Or AIPR

Le concours Bus d’or AIPR récompensera les meilleurs conducteurs de car, de bus et des transports urbains. Il permettra de mettre en valeur le professionnalisme des participants et participantes qui exercent un métier au service de la population en les incitant à développer une conduite sécuritaire pour contribuer à sauver des vies sur les routes.

Ce qui peut être un véritable outil de promotion du métier de conducteur et de sensibilisation en milieu professionnel de ce métier emblématique du transport qui rend service au quotidien.

La technicité de la conduite, l’anticipation des risques routiers, le respect de l’environnement et la qualité de relation clientèle seront les critères d’évaluation de ce concours !

Formulaire des candidatures à venir

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